Dans How To Kill a Mocking Bird de Harper Lee, le narrateur est une petite fille un peu rebelle surnommée Scout, qui fronce les sourcils, se bat avec les gaçons et déteste porter des robes, tandis que son père, Héros de la Justice Morale des Hommes, se bat nuit et jour contre le Racisme en Alabama. Bref, la classe. On n'est donc pas très étonné qu'Emma Louise Niblett, pourtant déjà affublée d'un nom romanesque à sa naissance, ait choisi de s'appeler Scout.
En gros, quand elle entame un refrain, ça rend souvent les yeux humides. Si elle n'avait pas la tête de Gollum mélangée à celle d'une collégienne déviante qui fait des expériences sur des rongeurs morts, elle serait Cat Power à la place de Cat Power, qui est quand même une grosse feignante depuis au moins dix ans.
Sinon, bla bla travail avec Steve Albini, bla bla 4 albums super chouettes, bla bla.
Le duo avec Bonnie Prince Billy, qui arracherait des larmes d'émotion au président de la Corée du Nord :
Apprête-toi à recevoir la lumière :
Elle kiffe également nirvana et les vieilles chemises :
Scout - Lullaby For Scout In 10 Years
Comment rendre un méga-tube reggae grave et délicat ?